86 % des Français dépassent leur budget de Noël… mais refusent de renoncer à la fête

L’attachement à Noël demeure massif : 89 % des Français prévoient de le fêter, un niveau particulièrement élevé dans une période où un Français sur cinq reconnaît que “la magie opère un peu moins qu’avant”. Ce décalage traduit des vies plus fragmentées : éloignement géographique, charge mentale accrue, situations personnelles complexes. Parmi ceux qui ne fêteront pas Noël cette année, les raisons les plus invoquées sont un budget trop serré (40 %), des proches éloignés (34 %), ou un contexte personnel diffi cile (45 %).
Pour ceux qui célèbrent cette fête, les essentiels sont non négociables : 58 % refusent de sacrifi er les cadeaux, 49 % le moment en famille, 48 % le sapin et les décorations, et 44 % les produits traditionnels du réveillon. Autrement dit : les Français adaptent leurs façons de faire, mais pas ce qui donne son sens à Noël.

Les Français arbitrent davantage en 2025 : 32 % comptent rester sous la barre des 200 € pour leur budget de Noël, tandis que 22 % dépasseront les 500 €. Entre ces deux extrêmes, un même réfl exe : maîtriser la dépense. Pour tenter de respecter leur budget, les Français ont plusieurs méthodes : 32 % anticipent les achats et 28 % guettent les promotions.
Pourtant, malgré cette vigilance, 86 % dépassent le budget qu’ils s’étaient fi xé. Et ce dépassement n’est pas le signe d’une perte de contrôle : il est motivé par des intentions très claires. Les Français “craquent” d’abord pour faire plaisir aux enfants (54 %), acheter un cadeau supplémentaire pour un proche (52 %), ou améliorer un plat festif (37 %). On dépense alors moins par habitude, mais plus par générosité.
Le contenu du repas reste un marqueur fort : la bûche (51 %) et le foie gras (49 %) dominent toujours le classement des incontournables, suivis par les chocolats (35 %), les volailles festives (32 %) et le saumon fumé (30 %). Même les produits plus symboliques continuent de compter : 24 % plébiscitent le champagne, 22 % les huîtres et fruits de mer, et 17 % les produits régionaux ou faits maison.

Les chiffres en témoignent:
- 72 % des Français y réalisent la majorité de leurs courses de fête, preuve d’un format qui reste incontournable pour organiser un repas complet.
- 71 % y repèrent les promotions pour tenir leur budget, confi rmant que l’hypermarché est l’un des leviers les plus concrets pour préserver le pouvoir d’achat tout en maintenant la qualité du repas.
- Et au-delà de l’aspect pratique, 63 % déclarent que l’hypermarché contribue à “les mettre dans l’ambiance de Noël” : l’expérience compte autant que le panier.
- Enfin, 65 % y trouvent des produits qu’ils n’achètent qu’à cette période, signe que la fête se construit aussi autour de ces plaisirs occasionnels que l’on ne veut pas perdre.
Ce recours massif ne relève donc pas seulement du confort : l’hypermarché devient le repère stable d’un Noël accessible, où traditions, nouveautés, et maîtrise du budget cohabitent. Dans ce paysage, E.Leclerc s’impose comme un acteur de référence pour la préparation des fêtes. Grâce à son exigence sur les prix et à la diversité de ses concepts (E.Leclerc Jouets, Espaces Culturels…), E.Leclerc rassemble tous les incontournables de Noël : repas de fête, chocolats, bûches, sapin, jouets, cadeaux et décoration. L’enseigne permet ainsi aux familles de préparer toute la fête au même endroit, en choisissant aussi bien les grands classiques que des alternatives locales ou “fait maison”, pour un Noël qui garde son sens sans devenir hors de portée.